On raconte qu'entre 1778 et 1784, le Diable apparut aux habitants d'Aizenay. Tous le reconnurent et le greffier Delaroze en fit même une description très précise dans ses écrits.
L'anarchie régnait alors : les clercs abandonnèrent leur église, le peuple n'écoutait que ses mauvais instincts, adultères, alcoolisme. Martineau le charpentier, pris de vin, vomit plusieurs fois dans l'église.
Seuls le curé Jouen et quelques fidèles réussirent à reprendre le dessus grâce à des châtiments exemplaires.
La chaire en pierre de l'église d'Aizenay. © blog Photos de Vendée
Les officiers de police eux-mêmes furent semoncés par le Sénéchal, le sieur Pyneau. Et c'est ainsi que le calme revint après quelques années.